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RENSEIGNEMENTS SUPPLEMENTAIRES SUR L' ANNUAIRE C
CHERTIER DOMINIQUE-JEAN
Belle-Ile
GOVENN-Les Destinées contrariées
(27.09.2019)
Editions de L'Harmattan
www.editions-harmattan.fr
Découverte de l'Auteur par un article de presse
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D'après l'article du journal Ouest France du 5.11.2019 Govenn, le nouveau livre de Dominique-Jean ChertrierDominique-Jean Chertrier est d’origine bretonne et possède une maison à Belle-Île depuis 25 ans. Après des études littéraires à la Sorbonne, à Paris, il est parti à la découverte du monde. Il a exercé différents métiers en entreprise ou en politique. Désormais, depuis l’Argentine, il consacre une grande partie de son temps libre à l’écriture. Après Saint-Jacques de Compostelle, il vient de publier Govenn, les destinées contrariées, aux éditions L’Harmattan. « Je me suis demandé comment vivaient les gens pendant la guerre, sur une île que l’on reconnaîtra forcément. Il y avait peu de tourisme, plus de paysans que de pêcheurs. C’était la dernière année de la guerre. Pour les jeunes, c’était compliqué, pas de fête, ils n’avaient même pas le droit de regarder la mer. » L’écrivain s’est beaucoup inspiré des Archives départementales. |
Dans
son roman, il raconte « quatre
destins emportés par la guerre » avec un jeune homme, un Africain, un officier allemand et une adolescente ayant pour point commun Govenn, une île imaginaire de la poche de Lorient. « Ce sont des vies inspirées de faits réels, de réalités souvent oubliées ou occultées, comme la place de l’Afrique dans le conflit mondial. » Prix: 21€ 50 (Chez l'Editeur, " dans toutes les bonnes librairies" et sur les sites spécialisés du web) |
Présentation par l'Editeur
sur sa page: https://www.editions-harmattan.fr/index.asp?navig=catalogue&obj=livre&no=64053
Quatre destins emportés par la guerre. |
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Un extrait à lire: http://liseuse.harmattan.fr/978-2-343-18397-8
Ouvrage précédent paru chez un autre Editeur
Pourquoi irais-je à Compostelle ?(11.6.2019)
chez PUBLIBOOK
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« Depuis
longtemps, je ne relève plus mes appels téléphoniques qu'au terme des étapes. Et encore, quand il ne me prend pas de les effacer avant de les entendre. J'étais habitué aux survols, aux synthèses, à l'effervescence, à la précipitation. J'ai découvert la lenteur, les bruits précieux ou non, la beauté des détails. Je me délectais des contraintes pour éviter, comme tant d'autres, de constater la fuite inexorable du temps. Ici, je suis ma pente, lentement. » En se lançant sur le chemin de Compostelle, D.-J. Chertier savait-il qu'il ouvrait dans sa vie une parenthèse ? Éloigné des préoccupations quotidiennes, l'homme retrouve son ampleur, redécouvre son environnement. Son regard se fait plus lent, patient, mais aussi acéré, voire critique, en tout cas moins égocentrique et plus ouvert sur ce que le monde à offrir. Et le temps de prendre plus d'épaisseur, de densité, pour finir par absorber totalement le marcheur qui, en même temps qu'il se déplace, progresse dans sa mémoire et l'histoire. À contre-pied des traditionnels récits de voyage, . |
D.-J. Chertier compose ici une uvre littéralement déroutante, dont l'horizon est moins géographique que spirituel
Page réalisée le
2.01.2020